Dans ce passage en revue des persécutions subies, le système Olivieri affleure. Son patrimoine n’est pas familial. Il l’a constitué peu à peu, “surtout dans les années 1990″. “À l’époque, cela ne valait pas grand-chose, raconte-t-il sans fard. Et puis j’arnaquais les banques en disant que je n’avais pas de crédit. En fait, je n’avais que l’argent du notaire”.
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