L’origine du mot masque reste aussi mystérieuse que les visages qu’il cache…
Il apparaît en 643 et pourrait venir du latin (sorcière) ou de l’indoeuropéen (filet dont on enveloppe les morts). Dans le sud de la Provence, les sorciers seront, jusqu’au XIXème siècle appelés des "masques"…
Pour se déguiser, on se contente souvent au Moyen-Age de se noircir le visage avec de la suie, de le dissimuler sous une étoffe ou de porter ses vêtements à l’envers, coutures apparentes.
Les premiers masques son

Les croyances ancestrales assurent que le bruit et les danses de Carnaval favorisent la prospérité.

Pendant cette période de lien entre les vivants et les morts (évoqués par les masques), il ne fallait ni brûler les os des bêtes ni les donner à manger aux chiens : il valait mieux les enfouir dans une écurie, comme autant de graines symboliques des animaux à naître.
Carnaval se terminait souvent par un feu. Pour s’assurer de bonnes moissons à venir, on conseillait de sauter par-dessus le feu, le plus haut possible, ou bien d’emporter des cendres et d’en répandre dans les champs.
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