Représentant plusieurs tonnes de gravats, l’éboulis a fini sa course à un mètre de tables installées à l’extérieur par les associations du Comptoir de la Victorine (3e), où les artistes en résidence avaient l’habitude de profiter du grand air et des rires d’enfants.
Ce n’est plus le cas avec l’installation d’un périmètre de sécurité autour du trou béant, ceinturé par les barrières des services techniques de la Ville.
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