Coquillages, sable, galets, bois flotté... On ne peut pas tout ramasser sur les plages
Publié le 04 août 2022 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Vous avez l'intention de rapporter de vos vacances des galets pour refaire votre salle de bains ou agrémenter votre jardin, ou du bois flotté pour décorer votre intérieur ? Attention, il existe une réglementation qui protège l'écosystème fragile des littoraux, avec des amendes pour atteinte au domaine public pouvant être très élevées.
L'usage des plages est libre et gratuit selon le Code de l'environnement. Cependant, y ramasser du sable, des galets ou des coquillages comme souvenirs de vacances est une pratique fragilisant les littoraux qui est encadrée par la loi avec des amendes pour les contrevenants.
En effet, l'article L.321-8 du Code de l'environnement stipule que « les extractions de matériaux [...] sont limitées ou interdites lorsqu'elles risquent de compromettre, directement ou indirectement, l'intégrité des plages, dunes littorales, falaises, marais, [...] ».
Le sable et les coquillages
Il est interdit de ramasser du sable sur la plage. Le Code de l'environnement considère son prélèvement comme une atteinte au domaine public maritime, fragilisant les littoraux. Cependant, il est possible de collecter le « sable éolien » : celui qui a été déplacé hors de la plage par le vent sur la chaussée ou les trottoirs.
Les autorités peuvent tolérer le ramassage lorsqu'il se fait en petite quantité. Le prélèvement déraisonnable, parfois à but commercial, est passible d'une amende pouvant s'élever jusqu'à 1 500 €.
Pour les coquillages vides, la restriction est la même que pour le sable.
Les galets
Sur une plage, les galets protègent la faune et la flore de la houle et de l'érosion.
Les amas de galets empilés sont à la mode mais ne sont pas sans danger pour l'écosystème du littoral.
Le glanage de galets peut coûter une amende de 1 500 €.
Les fleurs
Les littoraux marins disposent d'une flore spécifique qui ne pousse qu'en bord de mer et qui est classée comme protégée. Couper ces plantes peut valoir 150 000 € d'amende pour « atteinte à la conservation d'espèces végétales non cultivées ».
Le bois flotté
Il n'existe pas de réglementation officielle concernant le ramassage du bois poli par l'eau et ramené sur les plages par les vagues et les marées.
Le verre dépoli
Le prélèvement est autorisé car il contribue à la propreté de la plage.
Les mollusques
Vous aimez ramasser des coquillages vivants pour les déguster ensuite ? Que ce soit pour des raisons environnementales ou sanitaires, informez-vous auprès de la mairie car la réglementation peut varier selon les départements.
À savoir : La « laisse de mer » est ce qui est laissé par la mer au gré du mouvement des vagues, du flux et du reflux des marées. Elle forme une bande où sont accumulés des éléments vivants ou d'origine vivante (os de seiche, algues, éponges, bois mort) et des débris venant des activités humaines (sacs plastiques, morceaux de filets de pêche, boulettes de pétrole).
Quand la « laisse de mer » n'est pas trop polluée, elle constitue un véritable écosystème qui participe à la vie du littoral, abritant de nombreux micro-organismes qui vivent dans le sable, nourrissant les plantes qui vont contribuer à retenir le sable, ainsi que les insectes, les oiseaux, les crustacés.
Je vous fais suivre une proposition originale de l' AMI ( Aide aux musiques innovatrices )dans le cadre de JEST qui aura lieu au jardin Spinelly, ce samedi 3 septembre. Les places sont limitées. Le lien pour réserver ci- après!
Laurent Pernice et Dominique Beven, infatigables bourlingueurs musiciens, vous présentent leur collection très atypique d’instruments du monde au cœur du Jardin Spinelly le temps d'un après-midi.
Plus d’une trentaine d’instruments peu connus voire pour certains carrément rarissimes, venus des quatre coins du monde, glanés au fil de leur lointaines tournées.
Ils vous expliqueront aussi quelle est la place de certaines musiques suivant les cultures des pays où elle sont pratiquées : Musiques de thérapie chez les gnaouas du Maroc ou chez les shamans de Sibérie ; musiques savantes en Inde, musiques de chasse au Brésil, musiques de cérémonie au Cambodge ou musiques de guerre en Écosse…
Et, cerise sur le gateau, ils vous prêteront peut-être quelques-uns de leurs instruments pour tenter une improvisation collective, juste pour le plaisir de faire corps avec la musique."
Un an après l’annonce du plan Marseille en grand par le président de la République Emmanuel Macron, la métropole affirme dans ses communiqués et sur les réseaux“avancer à grande vitesse”ou encore“accélérer”sur les projets mobilités cofinancés par l’État. Soit justement l’objectif annoncé :“L’État a décidé de mobiliser de manière exceptionnelle des moyens importants pour permettre l’accélération des projets mobilité de la métropole et permettre le désenclavement rapide des quartiers nord de Marseille, qui reste la priorité du plan”, rappelle en effet Laurent Carrié, préfet chargé du plan Marseille en grand.
Mais, dans les faits, le soutien financier d’un milliard d’euros de l’État pour les projets de transports du territoire n’a pas bousculé le calendrier. Pire, les principaux chantiers annoncés connaissent déjà des retards.
GLISSEMENT DE PLUSIEURS ANNÉES
Le développement du réseau de tramway est ainsi retardé d’au moins un an, freinant notamment le désenclavement des quartiers Nord. La métropole a rendu public fin juillet un nouvel agenda pour ces 15 projets mobilités prioritaires. Ces annonces constituent un point d’étape dans l’avancement du volet transports du plan Marseille en grand, présenté dans un précédent communiqué en décembre 2021. Date à laquelle l’ancien premier ministre Jean Castex a acté l’aide d’un milliard d’euros. Néanmoins, comme dans le cas de la mise en accessibilité des stations de métro marseillaises, les échéances d’il y a sept mois ne correspondent plus à celles données aujourd’hui par la métropole.
La deuxième phase de l’extension du tramway vers La Castellane au Nord et vers La Rouvière au Sud devrait être terminée en 2029, contre 2028 dans l’ancien calendrier. Pour la nouvelle ligne entre la rue de Rome et la place du 4-septembre, les dernières annonces évoquaient une livraison en 2025. Elle verra finalement le jour d’ici à 2028. Du côté de Belle-de-Mai, la métropole prévoit maintenant une prolongation du tramway jusqu’à ce quartier pour…2030.
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UN TRAMWAY POUR DESENCLAVER LE QUARTIER DE LA BELLE DE MAI
La Métropole a engagé des études de faisabilité pour la réalisation d’une extension du tramway entre
le quartier Saint-Charles et la Belle de Mai.
Imaginé dans le cadre de la requalification urbaine, mise
en œuvre dès 2016 par la Métropole sur le secteur Saint-Charles-Belle de Mai, ce projet de mobilité
doit se connecter à l’actuelle ligne de tramway T2 au boulevard National, avec une desserte à travers
le quartier de la Belle de Mai jusqu’à la place Burel, terminus provisoire en prévision d'un prolongement
vers Saint-Jérôme. Il permettra une rénovation de l’intégralité de l’espace public traversé, et
s’inscrit en cohérence avec les études entreprises à travers l’opération de renouvellement urbain du
centre-ville et de la future gare souterraine Saint-Charles.
Après un premier comité de pilotage, réuni le 18 mars dernier, les études vont désormais se poursuivre
afin d’affiner les contraintes techniques, notamment foncières et urbaines, de chaque variante des
tracés, dans le cadre de comités techniques et partenariaux. Le programme finalisé devrait être
soumis au vote du conseil métropolitain, dans le courant de l’année 2023
Ce jeudi 1er septembre la ZFE entrera en vigueur à Marseille. Le vaste périmètre autour du centre-ville comprend notamment la Belle de Mai, quartier qui compte beaucoup de ménages modestes et motorisés. Ici, plus que l'impact écologique, ce sont les conséquences financières qui sont redoutées.
“La Z quoi ?”. La réaction est récurrente. Dans les rues de la Belle de Mai (3e), rares sont ceux qui connaissent l’acronyme ZFE. Pourtant, à partir de ce jeudi 1er septembre, ce quartier fera partie intégrante de la zone à faibles émissions. Comprenez en polluants routiers. Dans ce périmètre qui s’étalera sur les 19,5 kilomètres carrés les plus centraux de Marseille, certains véhicules ne pourront plus circuler. Ces véhicules, les plus anciens, et donc, les plus polluants, sont censés être reconnaissables grâce à une vignette “Crit’air” obligatoire. Celle-ci permettra de classer les véhicules ; du plus nocif pour la qualité de l’air (5) au plus respectueux (électrique). Dans un premier temps, seuls les véhicules classés 5 seront concernés (diesel immatriculé avant 2000 et essence avant 1996), pour progressivement ne laisser circuler que les véhicules munis d’une vignette Crit’air 1 et 2.
Si l’entrée en vigueur de cette nouvelle mesure vise à améliorer l’état des poumons des résidents, elle risque aussi d’avoir un impact financier pour les plus démunis, difficilement mesurable. “Quand on voit l’état des voitures, comment vont faire les gens ? Ici, on n’a pas tous les moyens de se racheter une voiture, même d’occasion”, s’inquiète Sophia, qui tient un café. Si des aides sont prévues par l’État et la région, la crainte des habitants – souvent très peu informés – de ce quartier qui fait partie des plus pauvres de la ville, est bien là. Quand ce n’est pas du déni.
“PERSONNE N’EST AU COURANT”
Accoudé au comptoir, Kamel regarde son café les yeux dans le vide. Il réfléchit aux conséquences que cette nouvelle mesure aura sur sa vie. Propriétaire d’une veille modus diesel de 2003, le Crit’Air 4 lui pend au nez avec une interdiction de circuler dans la zone d’ici à un an. Retraité, le vieil homme habite du côté de Félix-Pyat et vient chaque jour à la Belle de Mai rendre visite à sa fille. Régulièrement, c’est lui qui amène sa petite-fille à l’école, en voiture. Une habitude qu’il va bientôt devoir changer. “Je vais devoir faire tout ça en bus, prendre le 89 jusqu’à National, puis le 31. Bon, il y a une côte à monter, mais ça me maintiendra en forme”, envisage-t-il sous le regard inquiet de sa fille. Changer de voiture ? Kamel ne l’envisage même pas. “Celle-là va partir direct à la casse. Ça me fera économiser les 42 euros d’assurance par mois”, essaye de relativiser ce grand-père aux yeux rieurs.
Si l’entrée d’une journaliste dans ce bar de quartier ouvre le débat, personne ici ne semble s’être questionné sur cette nouveauté par le passé. “Personne n’est au courant. Des prospectus ont bien été distribués, mais honnêtement, je ne pense pas que ça va marcher”, tranche Sophia, sous l’approbation générale des habitués de son zinc. “Ils ne savent plus quoi inventer pour nous prendre de l’argent !”, conclut l’un d’eux en tapant du poing sur la table.
SPOTS RADIO ET AFFICHAGE PUBLIC
Dans les territoires les plus pollués, l’application d’une ZFE a été rendue obligatoire par la loi d’orientation mobilité promulguée en 2019. Et c’est à la métropole qu’a échu le soin de l’appliquer, notamment de communiquer pour préparer son entrée en vigueur. Spots d’information avant l’info trafic sur France Bleu Provence, distribution de prospectus dans “toutes les boîtes aux lettres des 300 000 habitants de la zone”, pages internet dédiées, affichages dans 70 bars et restaurants, sur des panneaux dans l’espace public, 169 affiches sur les cars, 102 sur les trams, 100 pour les bus… Contactés par Marsactu, les services de la métropole affirment “communiquer massivement depuis plusieurs mois”. Et ce, jusqu’en octobre. 300 panneaux de signalisation ont également été installés en entrée de zone.
“Ah oui ! J’en ai entendu parler”, se souvient enfin Moustapha, responsable du garage King Auto, rue d’Orange, une fois l’acronyme décrypté. “Ils veulent éliminer le diesel. Ces jours-ci, j’ai fait le dernier contrôle technique d’un monsieur qui a une voiture de 1998. Il a mal réagi, il se demande bien comment il va faire…, raconte le mécano. J’ai un autre client qui a pu acheter une voiture électrique grâce aux aides [du département], il a déposé un dossier, mais t’as toujours un truc à sortir de ta poche. Et tout le monde ne peut pas se le permettre.”
Un peu plus loin, dans le garage JK, le débat monte. Miloud est venu rendre visite à un ami du quartier depuis Lyon. La ZFE, le jeune père voit très bien de quoi il s’agit. Dans la métropole lyonnaise, elle est en vigueur depuis le 1er janvier 2020. Voilà donc plus de deux ans qu’il réfléchit à des stratagèmes pour contourner cette nouvelle réglementation. “J’ai fait passer en véhicule de collection ma vieille voiture [une dérogation est accordée pour les véhicules de collection, qui doivent avoir plus de 30 ans]“, lance-t-il fièrement. Son ami ne pourra en faire autant. Sa voiture est vieille, mais pas assez. Il peste : “Les moteurs anciens cassent moins. OK, on t’aide financièrement à l’achat. Mais après, qui paye l’entretien ? On vit dans un monde de consommation où avoir une voiture sera du luxe !”.
PLUS D’AIDE LOCALE POUR ACCOMPAGNER LA TRANSITION
Aucune aide spécifique à la ZFE n’est prévue par la métropole pour accompagner les propriétaires modestes, contrairement à la plupart des grandes villes concernées. Entre 2018 et 2021, le conseil départemental proposait une aide de 5000 euros pour l’achat d’un véhicule électrique, versée sans condition de ressources. Le dispositif, étendu à tous les habitants des Bouches-du-Rhône, a coûté 65,3 millions d’euros, le quadruple de ce qui était prévu initialement.
En mars 2022, le maire PS des 2/3 et conseiller départemental, Anthony Krehmeier interpellait Martine Vassal sur la nécessité de prendre le relais avec une aide dédiée à l’accompagnement de la ZFE. “On arrête parce qu’on a largement rempli notre contribution. On a permis à toutes les personnes qui le souhaitaient d’acheter un véhicule électrique, qui reste quand même un véhicule cher. Tout le monde ne peut pas, même avec les aides, acheter un véhicule électrique”, justifiait alors la présidente du département, mais aussi de la métropole. Quant à la suite, elle a renvoyé la balle à la Ville de Marseille, l’enjoignant de “prendre ses responsabilités”…
“ILS N’ARRIVERONT JAMAIS À LA FAIRE APPLIQUER”
Pour les propriétaires de vieux diesel, reste l’espoir d’esquiver les PV. Les amendes pourront s’appliquer pour absence de vignette ou circulation non autorisée et leur montant s’élève à 68 euros pour les véhicules légers ou les deux-roues, et à 135 euros pour les poids-lourds. “À Lyon, il y a la vidéosurveillance et des contrôles. Mais ici, ça ne marchera pas. C’est impossible à contrôler, ils n’arriveront jamais à la faire appliquer. Il y a déjà trop de choses à vérifier”, tranche Miloud le garagiste.
Contactée, la préfecture de police affirme que le mois de septembre sera dédié à la pédagogie. Les premières sanctions tomberont en octobre. Mais aucun contrôle supplémentaire n’est pour le moment envisagé. La vignette sera donc vérifiée lors des contrôles routiers classiques. Si la police municipale est également censée prendre part aux contrôles, la Ville n’a pu nous apporter plus de précisions. “Ce n’est pas nous qui avons les choses en main”, a-t-on simplement répondu à Marsactu.
“LA ZFE OUI ! MAIS AVEC QUELLES ALTERNATIVES ?”
Dans certaines métropoles, à commencer par Paris, une vidéo-verbalisation automatique a été envisagée. À Marseille, ce n’est pas pour tout de suite, bien “qu’il y ait beaucoup de réflexions à ce sujet”, précise-t-on du côté de la préfecture de police. Plusieurs problèmes techniques peuvent expliquer cela. Comme notamment l’impossibilité de recouper les différents fichiers qui comprennent par exemple les dérogations. En effet, celles-ci peuvent être nationales (véhicules des personnes à mobilité réduite, d’association, de transport en commun…) mais aussi locales, sur dérogation temporaire de la métropole. Ce pourra par exemple être le cas pour les véhicules frigorifique, certains engins de chantier, les véhicules des commerçants ambulants, ceux des associations qui effectuent des maraudes auprès des sans-abri.
Selon la métropole, la première salve de la mise en place de la ZFE (Crit’Air 5) devrait concerner 2 % des véhicules personnels, 4,4 % des poids lourds et 1 % des véhicules utilitaires marseillais. Certains quartiers seront plus ou moins avantagés. À la Belle de Mai, quartier peu traversé par d’autres gens que ses habitants, 49 % des ménages ont une voiture et 48 % des actifs utilisent un véhicule personnel pour se rendre au travail selon le recensement de l’Insee. À titre de comparaison, ils sont respectivement 34 et 24 % dans le 1er arrondissement, bien moins motorisé.
“Je dis oui à la ZFE ! Les quartiers pauvres aussi ont le droit à ce que l’on fasse attention à leur santé, amorce Maurice Attia, adjoint au maire de secteur (PCF) des 2/3 en charge de la voirie et qui a abondamment tracté sur ce sujet. Mais parallèlement, il faut investir dans des alternatives, plutôt que d’imposer en plumant les gens.” Et l’élu de secteur de rêver d’une réelle amélioration du réseau de transports en commun – “qui est lamentable à la Belle de Mai” – de pistes cyclables sécurisées, d’accès facilité à l’autopartage, voire… de gratuité des transports en commun.
JUSQU’À 7000 EUROS D’AIDES DE L’ÉTAT
Plusieurs aides existent, indépendamment de la ZFE. En ce qui concerne les aides de l’État, il s’agit notamment du bonus écologique. Il s’applique aux particuliers et aux professionnels souhaitant acheter un véhicule électrique. L’aide peut aller 7000 euros pour un véhicule neuf et 1000 euros pour un véhicule d’occasion ou hybride. Sachant que les entrées de gamme des véhicules électriques neufs coûtent environ 20 000 euros. Le gouvernement propose aussi la prime à la conversion, qui permet d’acheter un véhicule électrique neuf ou d’occasion grâce à une aide pouvant aller jusqu’à 5000 euros. Ces deux aides peuvent être cumulées pour atteindre les 12 000 euros, pour une voiture neuve. Du côté de la Région, le chèque transition bioéthanol permet d’obtenir 500 euros d’aide à la conversion du moteur d’un véhicule essence en moteur hybride essence-bioéthanol. Une opération qui coûte entre 700 et 1600 euros selon les voitures. La région a aussi mis en place une seconde aide à l’acquisition d’utilitaire électrique ou hybride pour les auto-entrepreneurs, les PME et le TPE pouvant aller jusqu’à 15 000 euros selon le type de véhicules.
Le 3 septembre, c'est le jour de reprise des activités du Roudelet Felibren.
Vous êtes à la recherche d’une activité proche de chez vous pour la rentrée ? Venez découvrir les nombreuses activités que propose le Roudelet Felibren de Château Gombert pour enfants / ados / et adultes !
Danse (répétitions techniques et chorégraphiques toute l’année, spectacles en France et à l’International)
Musique (Galoubet, tambourin, percussions)
Chorale
Cours de Provençal
Toute la journée, les membres de l’association seront là pour répondre à vos questions, vous présenter le fonctionnement des cours et quelques démonstrations ! Pour les plus motivés, n’hésitez pas à enfiler une tenue de sport pour tester quelques pas de danse avec les danseurs du groupe !
RDV le 03 septembre 2020 à partir de de 14h au Centre de Culture Provençale – 45 boulevard Bara, Château Gombert, 13013 Marseille.
Des ateliers démonstratifs auront lieu toute l’après-midi. Seul, entre amis, en famille, la journée est ouverte à toutes et à tous. Parking disponible sur place.
Le programme:
14h – Ouverture du Centre de Culture Provençale, présentations des différentes activités.
Services de restauration de 12h à 14h les mercredis, jeudis et vendredis par la Cantine du Midi et de 18h à 22h30 / les dimanches en continu par ALF Alimentation.
Buvette de 12h à 14h et de 17h à 22h30.
Tous les événements de La Saison sont gratuits et ouverts à tou.tes.s.
Si vous recevez ce message, c’est que vous nous avez aidé ou avez été consulté pour la création de la balade théâtrale immersive « St-Mauront Express ».
En plus de la seconde date prévue pour l’Eté marseillais le 30 août,pour laquelle il reste quelques places, nous ouvrons notre répétition générale de reprise le 29 août, toujours de 18h à 22h. Seule différence pour la répétition du 29, il y aura moins de collations en route (des sirops mais pas de panisses !!!) et pas de repas non plus à la fin au Jardin Spinelly, mais un petit verre à prendre ensemble à la fraîche pour soutenir leur belle association.
Que ce soit pour le 30 ou pour cette nouvelle date du 29, vous êtes toutes et tous cordialement invité.e.s, et nous vous demandons de bien vouloir faire suivre l’info à tous les gens ou associations du quartier avec qui vous pourriez être en contact.
Pour vous comme pour tout le monde, il suffit de réserver par SMS auprès de Carole au 06 64 53 77 90.
Nous allons publier ces jours-ci des annonces FB et Instagram dans ce sens. Si nous en avons la possibilité, nous vous ferons suivre aussi demain ou après demain des éléments graphiques intégrant cette nouvelle date, mais étant tous en vacances, je ne suis pas sûr que nous soyons dans les temps avant vendredi, sans parler de notre graphiste qui est bien chargé pour sa rentrée, d’où ce courriel avec l’essentiel de l’info que vous pouvez aussi utiliser et relayer comme bon vous semble dès à présent ou si le temps vous semble trop long.
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