jeudi 16 janvier 2014

INFOS QUARTIERS

 
 
"Les Restos du Coeur en lutte constante"
 (article de presse La Provence du 22.12.2013)
 
 

"Un nouveau local attendu"
"avec un objectif : optimiser la couverture de tous les centres

"Nous projetons en ce sens de déménager du Boulevard National qui est insalubre et où l'on reçoit 700 familles, à un nouveau local rue François Barbini dans le 3e arrondissement qui sera plus facile d'accès pour nos bénévoles, ont d'ailleurs indiqué Bernard NOS et les autres responsables réunis pour l'occasion ....
étant précisé que des aménagements auront lieu dans ce futur local avant son ouverture"

Bien que le N° de la rue François Barbini n'ait pas été précisé nous supposons qu'il s'agit de l'ancien
local SARA au 34 de ladite rue qui vendait des vêtements et qui a déménagé.

Le Ciq a immédiatement saisi la Mairie de Secteur pour se plaindre de recevoir une nouvelle structure sociale alors que nous avons besoin de commerces pour revitaliser ce quartier déjà très fortement paupérisé.

"700 familles dans la rue François Barbini relève de la galéjade" a écrit le CIQ à Mme le Maire, fin Décembre.

Pour l'instant nous n'avons obtenu aucune réponse à notre courrier.





2 commentaires:

Anonyme a dit…

SCANDALEUX
La rue BARBINI est totalement impraticable non seulement pour tout véhicule, mais également pour tout piéton. Les trottoirs sont déjà pris d'assaut pour servir de parking.
Il est donc inadmissible de choisir un tel lieu dans cette voie encombrée et étroite.
Notons par ailleurs que cette zone est déjà l'une des plus mal fammée avec un summum de taudis et de population misérable!
Veut-on condamner définitivement cette rue et rabaisser encore le niveau du quartier !
Mais que font les élus pour laisser se construire des ghettos de la sorte ?

Anonyme a dit…

et que dire du flot de personnes et de camions d'approvisionnement que ne manquera pas de drainer ce nouveau local. l'Activité de Sara répondait à un besoin non couvert, pourquoi ne pas l'avoir pérennisé en aidant l'association dans ses difficultés. Les resto du cœur avaient déjà leur local.