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Pour la 3e fois la palissade du terrain 30 rue Jouven a
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demande faite auprès de la Métropole |
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bientôt on ne pourra plus utiliser le trottoir |
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demande de desherbage autour des arbres de la rue Octave Teissier/Angle rue Auphan |
A St.Mauront, sur la Place César Baldaccini on peut regarder les matchs gratuitement, notamment, dernièrement, la Coupe d'Europe du 16 Septembre 2025
Il suffit juste de se "brancher" sur le réseau de son habitation c'est à dire en face de la PLACE. les fils électriques traversent l'avenue Belle-Vue, sur la photo. Les véhicules y passent dessus.
Est-ce grave ?
En plus ce sont les dérives (alcool, barbecues, nuisances sonores, saletés, ordures, canettes, laissées au sol) que doivent supporter les riverains depuis de nombreuses années jusqu' à 2/3 H. du matin, ainsi que les Agents de la Propreté.
Les habitants seront ils enfin écoutés ? entendus ? habitants qui n'en peuvent plus, au bord de la détresse...
Une Pétition est en cours (c'est un SOS)... sur Internet et va suivre, en "papier"...............
Atteintes aux biens en baisse, trafic de drogue et interpellations d'étrangers en situation irrégulière en hausse dans les Bouches-du-Rhône. Georges-François Leclerc — préfet de département et préfet de police — dresse un premier bilan de l'action de ses services en matière de sécurité.
En marge d’une conférence de presse sur les questions de sécurité, le préfet Georges-François Leclerc a annoncé son refus de voir un dispositif socio-médical d’accompagnement des usagers de drogue se créer en centre-ville. Au grand dam de la Ville de Marseille.
“Le préfet des Bouches-du-Rhône ne souhaite pas de halte soins addictions (HSA) dans le centre-ville de Marseille.” La phrase est limpide. Lâchée à la fin de la conférence de presse ce jeudi 25 septembre en préfecture sur la sécurité dans le département, par Georges-François Leclerc en personne, elle ne laisse place à aucun doute : “Moi, préfet des Bouches-du-Rhône, il ne saurait y avoir de HSA.” Fermez le ban.
C’est un changement de pied par rapport à ses prédécesseurs, les préfets de police Frédérique Camilleri et Pierre-Édouard Colliex. Georges-François Leclerc — qui cumule les fonctions de préfet des Bouches-du-Rhône et de police — est le premier à s’opposer frontalement à la création de ce dispositif de santé publique à Marseille. Ces espaces — comme il en existe à Paris, Strasbourg ou dans d’autres grandes villes européennes — permettent l’accueil d’usagers de drogues par une équipe pluridisciplinaire de professionnels (infirmiers, médecins, éducateurs, assistants sociaux…).
Promise par le Printemps marseillais à son arrivée au pouvoir, et envisagée fin 2023 au boulevard de la Libération à Marseille, la HSA — appelée abusivement “salle de shoot” par ses détracteurs — n’a pas vu le jour. Autant du fait de la frilosité de la majorité municipale devant la réaction des riverains, de l’instrumentalisation par l’opposition de droite, que du véto finalement posé sur le choix de ce lieu par l’État. Mais le projet était “toujours dans les tuyaux”, explique Michèle Rubirola, première adjointe au maire, chargée de la santé publique.
Si cette prise de position, particulièrement tranchée, est exprimée en peu de mots, le préfet développe ensuite les raisons de son opposition. La création d’une halte soins addictions suppose l’établissement d’un périmètre autour de celle-ci dans lequel les forces de police font preuve d’une forme de “tolérance” à l’égard des usagers (mais pas des trafiquants qui peuvent éventuellement y être appréhendés). C’est là que le bât blesse aux yeux de Georges-François Leclerc. “Le traitement médical est nécessaire, mais il ne peut pas se réaliser en l’absence d’interpellations”, assure le préfet qui insiste : “Priorité à la répression.”
“Mais, la répression, il n’y a que ça ! Et on voit bien que cela ne suffit pas”, s’agace Michèle Rubirola, jointe par Marsactu. Elle confie sa “grosse déception” face à cette prise de position, tout en ne sachant pas si “elle correspond à une directive de l’État” ou s’il s’agit là d’une expression plus personnelle du préfet. Pour la première adjointe, toutefois, “ce projet de santé publique qui vise autant à l’accompagnement des usagers qu’à la sécurité des habitants est plus que jamais d’actualité avec l’augmentation de l’usage du crack en centre-ville de Marseille“.
À la Ville de Marseille, on dit regretter “cette prise de position radicale”. Cette annonce de Georges-François Leclerc sonne comme “un gros coup d’arrêt dans le dialogue tissé entre les associations parties prenantes, l’Agence régionale de santé (ARS), la préfecture et la Ville qui se réunissent fréquemment sur le sujet. Et alors même qu’un consensus semblait acté autour de la création d’un dispositif indispensable”.
Une réunion doit se tenir en préfecture ce vendredi avec un certain nombre d’acteurs qui œuvrent sur le sujet. Elle promet d’être délicate. D’ici là, Michèle Rubirola appelle le préfet à “revenir” sur sa position et en appelle “à l’humain qu’il est”. Elle l’invite également, s’il le souhaite, à réaliser avec elle un “voyage d’étude à Copenhague, Lausanne ou Barcelone”, pour constater de lui-même comment fonctionnent ces haltes. “Dans l’accompagnement des usagers, mais aussi dans leurs liens avec les autorités policières, dit-elle. Car ces HSA ne sont pas la seule solution, mais une partie de la réponse. Et nous devons tous travailler ensemble sur le sujet.”
Au sein de la municipalité, une autre source s’alarme : “Ce projet, on ne peut pas le mener sans l’État.” Michèle Rubirola abonde : ce changement de position va mettre en péril le projet dans son financement. “D’ici à la fin de l’année, la subvention accordée par l’Agence régionale de santé (ARS) à laquelle nous avions droit pour mener cette expérimentation sera caduque”, regrette-t-elle. Un million d’euros qui va passer à la trappe dans l’accompagnement des toxicomanes marseillais. Alors même que la question, de l’aveu de tous les acteurs de terrain, se fait toujours plus aiguë.
L’association Scène Méditerranée, qui a repris la gestion du Théâtre Toursky, poursuit aujourd’hui son engagement culturel en élargissant ses actions au service des habitants.
Nous venons d'ouvrir le Centre de danse Scène Méditerranée, situé au cœur du quartier de Saint-Mauront (3ᵉ arrondissement de Marseille).
Porté par la signature artistique du chorégraphe Bouziane Bouteldja, codirecteur artistique de Scène Méditerranée, ce centre se veut un lieu ouvert, inclusif et convivial, dédié à la danse sous toutes ses formes, avec une attention particulière portée aux cultures hip hop, afro et urbaines.
Concrètement, le centre propose :
• des cours de danse hebdomadaires pour tous les âges et tous les niveaux (Break, Hip Hop New Style, Dancehall, Afro, ateliers chorégraphiques)
• des ateliers sportifs pour femmes, chaque mardi et jeudi de 10h à 11h, proposés au tarif adhérent symbolique de 10 € par an. Ces rendez-vous allient gymnastique douce et expression corporelle, en s’adaptant aux envies et aux rythmes de chacune. Ils invitent à prendre soin de soi, à renouer avec son corps, et à découvrir progressivement les autres activités culturelles du théâtre. Ces ateliers donneront également naissance à des moments conviviaux — cafés-rencontres, discussions, événements, sorties — ouverts à toutes les habitantes, pour nourrir le lien social et la solidarité dans le quartier.
• des cours d’éveil pour les plus jeunes, afin de faire naître la curiosité et la joie du mouvement
• des open trainings pour danseurs confirmés ou amateurs (adhésion annuelle : 2 €), pensés comme des temps de liberté et d’expérimentation
Scène Méditerranée développe également des ateliers culturels et artistiques, ainsi que des goûters dansés en partenariat avec les écoles locales, afin de renforcer le lien avec les partenaires, les enfants, leurs familles et l’ensemble du quartier.
Des tarifs “voisins” sont proposés aux habitants. Plus d’informations et détails des tarifs sont disponibles sur notre site :
https://sites.google.com/view/scenemed
mail METROPOLE
Bonjour Madame Claude Tabet,
Nous vous informons que votre demande de type "Descellée, manque plaque ou grille" sous le numéro n°4903110 vient d'être clôturée par nos services.
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Nos équipes ont laissé les commentaires suivants :
- SERAMM est intervenu sur le réseau assainissement public présent à l'adresse indiquée et a scellé la grille le 07/08.
En cas de difficultés sur cette demande, veuillez contacter notre centre relation usagers au 0 800 94 94 08.
Nous vous remercions de votre participation citoyenne.
La Métropole Aix-Marseille-Provence
EXTRAIT ...
Malgré les 300 renforts affectés à la police nationale marseillaise, cette dernière peine à contenir des trafics toujours plus volatils. Qui nécessiteraient encore plus de moyens, au-delà des coups de communication.
......................
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| Yannis Bouzar avec M. le Préfet de Région Georges François LECLERC |
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| Yannis Bouzar avec Mme la Préfète de Police Corinne SIMON |
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Yannis BOUZAR |
Le directeur de cabinet adjoint du préfet de police des Bouches-du-Rhône depuis 2023 part pour Fontainebleau, en Seine-et-Marne.
Au sein de la préfectorale, Yannis Bouzar détonait, mais pas à Marseille, où en deux ans et demi, le directeur de cabinet adjoint du préfet de police des Bouches-du-Rhône est devenu une figure incontournable bien au-delà des cercles d'initiés.
Capable de citer Levinas et son coiffeur de Noailles dans la même phrase, sans jamais se départir d'un sourire, cet enfant de la cité des 4 000 à La Courneuve, devenu plus jeune sous-préfet de France, a maîtrisé en un éclair tous les codes du cru aux côtés des deux derniers préfets de police du 13
- Frédérique Camilleri et Pierre-Édouard Colliex, avant la récente refonte de la singulière institution marseillaise.
"Cet homme est un génie, car il a passé le concours le plus exigeant qui soit, l'agrégation de philosophie, alors même qu'il était déjà sous-préfet", a salué le préfet de région, Georges-François Leclerc, au compliment réputé rare. Car voilà Yannis Bouzar déjà sur le départ. Promu sous-préfet d'arrondissement, le haut fonctionnaire, qui fêtera bientôt ses 30 ans, quitte Marseille pour Fontainebleau, en Seine-et-Marne.
Des travaux se réalisent au Grand Comptoir de la Victorine. Un échafaudage avait été posé, il a été retiré. Il semble que les travaux de façade sur la rue Ste Victorine, soient terminés; sauf que l'entreprise n'a pas nettoyé le trottoir et n'a pas retiré les parpaing qui se trouvent sur le trottoir pouvant générer des accidents aux piétons.
Le Ciq a interpellé le Grand Comptoir de façon à ce qu'il intervienne auprès des entreprises pour le nettoyage, l'enlèvement des parpaings, et la récupération de leur matériel (pots de peinture, filet, etc.)
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Rue Ste Victorine/Angle rue Toussaint |
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Le panneau STOP avait été arraché. A été réparé sous 48 H. par La Métropole |
Marseille, le 19.9.2025
Direction Générale Déléguée
Amélioration du Cadre de Vie
Mme TABET Claude
DOSSIER SUIVI PAR :
DGD Amélioration du Cadre de Vie
Direction Ressources et Coordination
Nos réf : DSA-S3211100/2025-09-86319
Vos réf : courriel du 22/07/2025
Objet : demande désherbage et nettoiement-13003
Madame la Présidente,
Votre requête relative au désherbage de l’impasse du Prophète et de la rue Fontaine ainsi qu’au nettoyage des escaliers et de la place de la rue Gauthier, situés dans le 3ème arrondissement de Marseille, a été prise en compte par la Direction Générale Déléguée Amélioration du Cadre de Vie.
Les services concernés, qui étaient en attente d’une date de programmation, ont pu intervenir pour le désherbage et le nettoyage des points cités, le mercredi 3 septembre.
Pour rappel, les 3 outils métropolitains à votre disposition pour une réponse plus rapide à vos questions relatives à la propreté, la collecte ou la voirie :
-Le centre d’appels « Engagés au Quotidien », au numéro gratuit 0800 94 94 08, du lundi au vendredi de 8h00 à 18h30 et le samedi de 7h30 à 17h30 ;
-L’application mobile « Adoptez le R3flexe ». Elle propose également des astuces pour réduire vos déchets et consommer plus durable ;
-Le site Internet https://dechets.ampmetropole.fr.
Restant à disposition,
La Direction Générale Déléguée
Amélioration du Cadre de Vie
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