vendredi 27 février 2015

Journée de la Femme - conférence en Mairie de Secteur


le Vendredi 6 MARS 2015 à 18 H.00

Lisette NARDUCCI, Maire des 2e et 3e arrondissements et les Elus du 2e Secteur, ont le plaisir de vous inviter à l'occasion de la Journée de la Femme à la conférence

"L'Histoire de Marseillaises au Coeur de notre Ville" par l'Association Les Femmes et la Ville
suivie du vernissage de l'exposition photographiques "Elles sont Charlie" par Camille PERRIN
(Exposition du 6 au 25 Mars inclus)




Fête des grands mères au New Barocco - Station Alexandre Bld Ch.Moretti




Une coupe de champagne offerte aux grands mères samedi soir et dimanche lors du brunch.

          Un cadre exceptionnel pour un weekend en famille !

Un restaurant cosy, des velours rouges, un coin pour les enfants avec une animation gratuite « arts plastiques » (peinture, collage, modelage, pliage, photophores…selon les semaines), un buffet varié selon le marché.
Dimanche 01 Mars 2015Spécial Grands Mères - photophores
Une coupe offerte à toutes les grands mères
Dimanche 08 Mars 2015Retour de vacances, peindre la neige
Dimanche 15 Mars 2015Atelier collage (apporter des magazines)
Dimanche 22 Mars 2015Pliage Origami
Dimanche 29 Mars 2015Atelier peinture : mélanger les couleurs primaires
  
Le New Barocco
Station Alexandre
29/31 Bd Charles Moretti
13014 Marseille
Tél: 04 91 94 00 00
contact@lenewbarocco.com


 

Aubagne 2015 - "Capitale Marcel Pagnol"



Aubagne Capitale Marcel Pagnol 2015
http://www.aubagnecapitalemarcelpagnol2015.com/fr


Aubagne, ville natale de Marcel Pagnol, va célébrer tout au long de 2015 le célébrissime auteur de "La Gloire de mon père", 120 ans après sa naissance.
Le samedi 28 février 2015, cela fera très précisément 120 ans que le petit Marcel Pagnol voyait le jour à Aubagne.
L'écrivain né au pied du Garlaban, célèbre dans le monde entier pour son théâtre, ses souvenirs d’enfance, son cinéma, sera célébré ce jour-là dans sa ville natale.
Et l'événement promet de marquer les esprits !
Ce 28 février, la Ville se réveillera en effet aux couleurs de 1895
En ce jour de grand marché, on se retrouvera entre des vendeurs du Petit Marseillais, journal de l'époque (avec une édition spéciale 28 février 2015) et des charrettes de livraison, on croisera le garde champêtre, le rémouleur, le maréchal-ferrant et bien d'autres encore... Les cafés accueilleront leurs clients comme autrefois, avec les serveurs en costumes d’époque.
Partout dans la ville des comédiens nous font revivre le passé et nous transportent dans les œuvres de Marcel Pagnol : la naissance à la maison natale, les bars de la Marine, l’étal du poissonnier, la partie de cartes, le conseil municipal du 28 février 1895, la boutique 1900 de la rue de la République…
Orgue de barbarie, diseuses de bonne aventure, acteurs amateurs animeront les commerces et les rues toute la matinée.
De nombreuses surprises vous attendent tout au long de cette incroyable journée !

Véhicules épaves dans Résidences Privées et fermées



Comment faire pour s'en débarrasser ?
Nous avons posé la question au Directeur de la Police Municipale,
Ci-dessous sa réponse,

"Madame,
Vous m'avez sollicité pour connaitre la procédures syndic en vue d'enlèvements de véhicules en stationnement abusif dans des résidences privées.

Le syndic de copropriété fait un relevé de véhicules en stationnements abusifs, il transmet cette liste au commissariat d’arrondissement accompagné d'un courrier de demande d'enlèvement au nom du syndic en y joignant 1 recommandé prépayé avec accusé de réception par véhicule mentionné
Puis le commissariat fait identifier les propriétaires des véhicules signalés , il adresse les courriers recommandés à chaque propriétaire identifié en leur donnant un délai de 7 jours pour retirer le véhicule signalé par le syndic.
Les dossiers sont ensuite transmis à la Compagnie de Sécurité Routière qui les transmet à la Police Municipale pour procéder aux enlèvements.
Restant à votre écoute pour tout renseignement complémentaire
Je vous prie d'agréer, Madame, mes respectueuses salutations "

Marc LABOUZ Directeur de la Police Municipale
et de la Sécurité

 

Constructions Immeubles rues Auphan/Bld Charpentier



Depuis 6 mois une décharge s'est constituée sur le futur chantier Auphan/Charpentier, dénoncée par le CIQ aux Elus, à Nexity, sans réponse de leur part. Nous avons sollicité, dernièrement, le Service de la Ville de Marseille dont la compétence est "la propreté des terrains municipaux et terrains privés", photos à l'appui, sans réponse non plus pour le moment.

Nous nous sommes rendus au Service de l'Urbanisme, et là, enfin (petit réconfort) une information publique : le Permis de Construire est affiché, ce qui veut dire que nous allons, bientôt,  être débarrassés de cette verrue qu'est cette décharge.

Nous avons pris Rv avec les Services pour aller consulter ce PC, ce que tout le monde peut faire  en se rendant à la Direction  de l'Urbanisme - rue Fauchier (Quartier Joliette) avec le n° du PC qui est affiché dans les locaux au Rez-de-Chaussée des services de l'urbanisme.

Ci-dessous quelques photos de l'actuelle décharge :

Rue AUPHAN (face à Rue Amidonnerie)




jeudi 26 février 2015

Ralentisseurs Impasse Solférino



Depuis plusieurs années les riverains de l'Impasse SOLFERINO réclament un ralentisseur.

Malgré plusieurs demandes du CIQ, la réponse de CUMPM a toujours été la même, (négative)
Notre dernière tentative "2015" a reçu, encore, un avis DEFAVORABLE.:

"Mme la Présidente

"Un avis défavorable a été émis : en effet, la configuration de cette zone est peu propice à la pratique de vitesses élevées (voie à double sens, très étroite, bordée par du stationnement)

De plus la mise en place de dispositifs de ralentissement créerait es nuisances sonores dont ne manqueraient pas de souffrir de nombreux riverains situés à proximité de la voie, côté impair"

Veuillez agréer, etc ... "


Les Services Techniques de la CUMPM




mardi 17 février 2015

Lu sur Marsactu (le 16.2.2015)


Lisette Narducci tire un premier bilan de son "accord de gestion" avec Gaudin

Il y a un peu moins d'un an, la radicale de gauche Lisette Narducci passait un accord politique avec la liste UMP lui permettant de conserver son siège de maire de secteur. Aujourd'hui, elle dresse un premier bilan de ce qu'elle présente comme un simple contrat de gestion sans portée politique. C'est dans ce même secteur qu'elle remet en jeu son mandat de vice-présidente du conseil général au côté de Jean-Noël Guérini.
 
Max Missak
 

 le bureau de la maire des 2e et 3e arrondissements, le visiteur a une vue imprenable sur le littoral marin de ce qu'on appelle désormais le "triangle d'or marseillais". Mucem, Villa méditerranée, parvis des voûtes... Le Marseille qui change est sous ses fenêtres. L'autre partie de son secteur, de la Villette à la Belle de Mai, offre une vue de la ville aux reflets moins dorés.

 À l'entendre, c'est pour conserver sa mairie et le lien indéfectible à ses habitants, qu'elle a passé un "accord de gestion" avec Jean-Claude Gaudin entre les deux tours. Certains y ont vu la main de Jean-Noël Guérini serrant celle du maire pour assurer sa réélection.

Lisette Narducci dénie toute manoeuvre politique, mais "le président" revient sans cesse dans la conversation. Et ce d'autant plus qu'ils sont tous les deux en campagne pour les départementales dans un nouveau canton qui fusionne leurs anciens fiefs électoraux. Elle n'oublie jamais de souligner l'endroit où le conseil général vient au secours des faibles finances de la maire de secteur pour mener à bien les projets qui lui tiennent à coeur.
 car l'accord de gestion passé avec Jean-Claude Gaudin prévoyait la mise en projet d'un certain nombre d'équipements dans son secteur.
 Si certains points semblent la satisfaire - notamment concernant les écoles - la liste des griefs est la plus longue. Même si, çà et là, l'argent du conseil général permet de consolider certains projets.

Il faut doute y voir un effet de la campagne des départementales où Lisette Narducci affrontera à droite Marie-Claude Bruguière et Thomas Mazet. Commerçante de la Belle de Mai, la première avait été une des rares voix à l'UMP à critiquer l'accord passé avec la secrétaire générale du parti radical de gauche des Bouches-du-Rhône au beau milieu de la campagne.
 Elle retrouvera également sur sa route l'ancienne juge d'instruction, Laurence Vichnievsky, investie par Europe écologie-Les Verts pour porter le fer sur les soupçons de corruption qui pèsent toujours sur le prédécesseur de Lisette Narducci dans ce bureau avec vue sur mer.

Qu'avez vous obtenu en contrepartie de l'accord passé entre les deux tours des municipales avec Jean-Claude Gaudin ?
L'accord avec le maire est un accord de gestion et non pas un accord politique. Après le premier tour, j'ai lancé un appel aux force de gauche pour se rassembler et faire barrage au Front national. Je n'ai pas été entendue. Le lundi matin, Jean-Claude Gaudin m'a appelée pour me dire qu'il aimerait discuter. J'ai donné mon accord en contrepartie de la possibilité de conserver mon poste de maire et surtout les membres de mon équipe dont la plupart m'accompagne depuis le début. Leur spécificité première est qu'ils habitent comme moi le secteur ce qui n'est pas le cas de tous les maires de secteur. J'ai obtenu d'en conserver six sur neuf qui sont aujourd'hui mes adjoints.

Aujourd'hui, j'ai des rendez-vous réguliers avec le maire ou le directeur général des services. Avec cet accord, je souhaitais qu'il entende mes revendications concernant les équipements des 2/3 et notamment les écoles. Ces arrondissements comptent parmi les plus grandes écoles de la ville et elles sont saturées. J'ai donc obtenu la programmation de trois écoles. La première étant l'école provisoire de la caserne Bugeaud dont l'ouverture est prévue à la rentrée 2015.

On se souvient qu'une de vos adjointes, Soraya Larguem était en première ligne lors des mouvements de colère des parents d'élève de l'école National au printemps. Elle agissait en accord avec vous ?
Je l'ai choisie parce qu'elle faisait partie des parents d'élève de cette école et qu'elle était particulièrement investie sur ce sujet. Nous avons donc obtenu cette école provisoire de huit classes. Nous avons également obtenu qu'une deuxième école soit programmée au sein de la Friche Belle de Mai. Enfin, dernièrement, alors que nous assistions tous les deux à la pose de la première pierre d'une école privée qui s'est construite en face de l'école Ruffi, j'ai fait remarquer au maire que l'école publique qui lui fait face était installée depuis plusieurs décennies dans des préfabriqués. Sa reconstruction doit être prochainement programmée. En revanche, je refuse une démolition/reconstruction sur place. Je l'ai déjà vécue lors des travaux de l'école Vincent-Leblanc. Les enfants partaient tous les jours en car pour une école aux Olives (13e arrondissement, ndlr). Ce n'est pas possible. Nous recherchons avec Danièle Casanova et les responsables d'Euroméditerranée un terrain disponible à proximité. Enfin, les travaux à venir sur les terrains des casernes du Muy prévoient également la création d'une école.

Quelles étaient vos autres revendications ?
Je lui ai récemment écrit pour lui faire part des aberrations de la taxe d'habitation. J'ai joint à mon courrier des copies des feuilles d'imposition d'habitants de Saint Mauront qui paient pour certains 1907 ou 2204 euros par an.

Mais n'est-ce pas la responsabilité de l'État qui n'a jamais révisé le cadastre qui fixe la valeur locative ?
Peut-être. Mais la Ville et la communauté urbaine perçoivent l'essentiel des fruits de cet impôt. Ils peuvent faire un geste pour les habitants du 3e. Je l'ai aussi alerté sur la question de la sécurité. Là aussi, c'est une question qui concerne l'État et je suis en rapport régulier avec le préfet de police et le directeur départemental de la sécurité publique. Mais je regrette qu'après avoir passé beaucoup de temps dans les réunions de concertation avec les habitants du boulevard National, les 66 caméras prévues pour mon secteur ne sont toujours pas installées. Et elles ne sont pas près de l'être. En effet, personne ne m'a dit à l'époque que si le projet de rénovation prévoyait bien les fourreaux pour accueillir les mâts des caméras, il faudrait faire de nouveaux travaux pour "tirer les fils" et raccorder les futurs caméras au réseau.

Enfin, j'insiste également sur les espaces verts, trop peu nombreux à mon sens sur ces deux arrondissements qui font partie du centre-ville. J'aimerai obtenir d'enfin ouvrir la halle Kléber, toujours fermée après de coûteux travaux. Il en va de même pour le jardin Ruffi qui est très mal fréquenté. Cela fait des années que je demande à la Ville la possibilité de disposer d'un agent assermenté qui ferme le jardin la nuit. Jusque-là, je n'ai pas eu gain de cause
Vous aviez aussi le projet de déplacer une partie des activités du centre social de la Belle de Mai au grand dam de certaines associations du quartier ?
Je veux rétablir un certain nombre de vérités à ce sujet. J'ai consulté la présidente de la fédération Léo-Lagrange qui gère cet équipement ainsi que son directeur. J'ai ensuite pris contact avec Alain Arnaudet le directeur de la Friche. Je leur ai proposé de déplacer les activités jeunesse du centre social à la Friche pour occuper un des plateaux remis à neuf de cet équipement financé par l'argent des collectivités locales. Il y a là des salles de théâtre, des jeux d'enfants, bientôt un plateau sportif. Cela me paraissait logique d'en faire profiter les enfants du quartier. Et justement ceux qui sont à l'origine de la polémique ne cessent de dire qu'il faudrait plus ouvrir la Friche sur le quartier.
Avec ce déménagement, l'idée est de conserver les activités famille et petite enfance sur le site existant et de trouver une solution pour un centre senior très mal adapté qui pourrait déménager sur ce centre social. Mais il n'a jamais été question de le fermer comme semblent le dire le président du comité d'intérêt de quartier, Serge Pizzo et la présidente de l'association Brouettes et compagnie. J'aurai aimé qu'ils m'invitent aux réunions qu'ils ont organisées.

Il était également question d'installer une bibliothèque. Mais il semble que celles de la Ville aient quelques difficultés à fonctionner. Comment sera financé son fonctionnement ?
J'avais la réponse à tout. L'idée était d'installer une bibliothèque gérée par une association ou en direct par la mairie de secteur en partenariat avec la bibliothèque départementale de prêt. Le président était tout à fait d'accord.
Le président ?
(Elle sourit) Le président Guérini. Ensemble, nous avions trouvé un local adéquat pour créer cette bibliothèque. Mais, visiblement Marie-Claude Bruguière [présidente de l'association des commerçants de la Belle de Mai et adversaire de Lisette Narducci pour les départementales, ndlr] a oeuvré pour qu'un Leader Price s'installe sur le site que nous avions repéré. L'adjointe au commerce Solange Biaggi m'a assuré qu'elle n'avait pas été consultée pour autoriser cette installation, ce qui m'étonne un peu pour un supermarché discount. Je trouve cela inacceptable. Surtout quand on connaît les difficultés du petit commerce. Par exemple, il manque un pressing à la Belle de Mai.

Est-ce que la présidence d'Euroméditerranée faisait partie de l'accord d'entre deux tours?
Je n'ai jamais cru à la présidence d'Euroméditerranée. Je fais partie des élus du conseil d'administration depuis la création de l'établissement. Les présidents sont élus en moyenne tous les trois ans et, généralement, celle-ci fait l'objet d'un consensus politique entre l'État et les collectivités qui financent Euroméditerranée. Quand Michel Vauzelle a été élu et que j'ai vu que, pour la première fois depuis 1995, les fonctionnaires prendre part au vote, j'ai su qu'il n'y avait pas lieu d'espérer que la présidence tourne entre les institutions.

Ils avaient pris part au vote lors de l'élection de Guy Teissier...
À cette époque, il y avait un consensus entre les institutions. Et cela ne change rien au fond du problème. Auparavant l'État finançait l'établissement à hauteur de 50%. Cela pouvait paraître logique qu'ils participent au vote à ce moment-là. Désormais il finance à hauteur de 30%, il n'y a pas de raison que les fonctionnaires qui représentent les différents ministères participent au vote. À l'automne quand le conseil d'administration a de nouveau été réuni pour élire le président, j'ai posé la question au préfet. Un peu gêné, il a fait un long détour pour expliquer que les fonctionnaires prendraient part au vote. Avec le soutien de Jean-Noël Guérini, le maire a jugé qu'il était juste que la présidence revienne à un représentant du conseil général. En voyant la manière dont le vote allait se passer, j'ai préféré retirer ma candidature. Bernard Morel a été élu pour quelques mois seulement.

Revenons à votre secteur, le collège Versailles est très enclavé. Avec un financement du conseil général, des travaux devaient permettre de lui offrir un vrai parvis. Pourtant rien n'a changé dans cette impasse...
Il y avait effectivement un accord de la Ville, de la communauté urbaine, du conseil général et d'Euroméditerranée pour réaliser ces travaux. Comme le conseil général était le principal financeur, il a été décidé qu'il serait le seul maître d'oeuvre. Il a fallu deux ans pour signer la convention. Ensuite, un jury s'est réuni pour choisir le lauréat parmi trois projets proposés. Au final, aucun de ces projets n'a donné satisfaction. Le conseil général a donc décidé qu'il était plus opportun d'envisager une démolition et reconstruction de l'établissement. Elle devrait être effective en 2017 ou 2018.

Mais dans la rue de Versailles, il y a aussi d'importants problèmes de logement avec de nombreux marchands de sommeil...
J'en suis pleinement consciente. J'ai d'ailleurs organisé une réunion avec le procureur adjoint, un représentant des forces de police et de l'ensemble des autorités. Je pense qu'il faut faire de cette rue un cas d'école du mal-logement. Ce qui se passe dans les immeubles de cette rue est particulièrement indigne. J'estime qu'il faut des mesures exceptionnelles pour mettre fin au règne des marchands de sommeil. Euroméditerranée pourrait y mener une opération d'amélioration de l'habitat renforcé. Pour l'instant, ces discussions n'ont pas encore abouti.

Le calendrier électoral fait que vous êtes de nouveau en campagne pour les départementales au côté de Jean-Noël Guérini. Le PS et l'UMP ne placent pas en face de vous des personnalités connues. Cela vous offre un boulevard ?

Je dis toujours à mes adjoints qu'une fois élus, nous sommes en campagne constamment. Cela fait partie de notre mandat. Et quand je suis en campagne, je regarde droit devant, jamais sur les côtés. Maintenant mes adversaires doivent faire attention aux arguments qu'ils utilisent dans cette campagne. Jean-Noël Guérini n'a jamais été condamné. Mais, encore une fois, cela ne me dérange pas. Mes vrais adversaires dans cette élection sont le Front national.

Correction : lundi 16 février, suppression du nombre de caméras du boulevard national. Les 66 caméras concernent l'ensemble du secteur. Enfin, Lisette Narducci précise que c'est à sa demande que le préfet a indiqué que les représentants de l'Etat prendrait part au vote lors de l'élection du président d'Euroméditerranée.
 
Par Benoît Gilles, le 16 février 2015


 

samedi 14 février 2015

"Impôts locaux annoncés à la hausse"


La Provence du 13.2.2015


EXTRAIT .....

" Marseille est confrontée à de nouvelles charges "qu'on nous impose comme les 21 M€ pour les rythmes scolaires. En résumé nous avons 40 millions à trouver"
Alors la Ville va, d'un côté, faire des économies sur les dépenses, d'un autre : optimiser ses recettes
"on va diminuer les subventions qui ne sont pas liées à des obligations, de 18 M€. L'effort va se porter aussi sur les dépenses d'investissement sans paralyser l'économie, de 230 M€ on va passer à 211"
.....
La dernière solution pour boucler le budget c'est de toucher au porte-monnaie des administrés "on sera obligé à un moment donné d'augmenter, le moins possible, les impôts locaux"
..........

Mme Narducci réclame une baisse d'impôts locaux pour le 3e arrondissement selon des articles passés dans La Provence, fin 2013 et début 2015 "coup de gueule". Un dossier de contribuables
imposés lourdement lui a été envoyé fin 2014.

A ce jour, malgré nos relances, nous n'avons obtenu aucune réponse à nos demandes de connaître l'avancement de ce dossier.


vendredi 13 février 2015

Un plafond s'effondre rue François Barbini


Cet évènement survenu hier après midi est relaté dans La Provence de ce jour :

"une femme de 58 ans a été grièvement blessée hier en début d'après midi par l'effondrement du plafond de sa cuisine, à son domicile, situé au Ier étage d'un immeuble de la rue François Barbini.
La victime a été ensevelie sous 6 m2 de plâtre et de gravats. Elle a été transportée à l'hôpital Nord et les secours qualifiaient , dans la soirée, le pronostic vital d'engagé. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de cet effondrement.

Au total une quinzaine de Marins Pompiers ont été mobilisés sur l'intervention."



Cet immeuble (le 39) étant vétuste nous avons immédiatement informés, le jour même,  par mail Mme Narducci, notre Maire de Secteur, Mme Fructus, l'élue de la Mairie Centrale en charge du Logement, sans aucune réponse à ce jour (27/2/2014)


jeudi 12 février 2015

Travaux sur le Noyau Villageois de St.Mauront



rue François Barbini
Rue Toussaint
Depuis plus de 4 mois des travaux de remplacement de canalisations se font pour le compte de la Sté des Eaux, travaux qui s'étirent en longueur mais qui, selon la Direction, devraient se terminer fin Février.

Actuellement , et pendant 2 jours, ce sont des travaux pour amener la "fibre" (FREE) qui se réalisent et qui perturbent un peu la circulation. .  Il y a lieu d'emprunter la rue Danton lorsqu'on arrive de la rue Loubon, la rue Toussaint
étant en partie barricadée.

Nous espérons qu'un revêtement correct sera réalisé après toute cette série de travaux.

La pose de la caméra vidéo surveillance Rue Toussaint/Angle F. Barbini devrait se faire en Mai 2015.

Est-ce qu'on commencerait, enfin, à s'intéresser aux habitants du Noyau Villageois ?



lundi 9 février 2015

A la Station Alexandre Bld Charles Moretti


le 14 FEVRIER 2015 à 21 H. ....
Affiche

 
David Bismuth
Désigné par le magazine Pianiste comme l’un des dix pianistes français les plus doués de sa génération, David Bismuth est salué par la critique pour son jeu lumineux et profond, où se conjuguent science de l’architecture et poésie du timbre.

Disciple de Maria João Pires, cette dernière l’a beaucoup enrichi et inspiré, tant d’un point de vue artistique qu’humain.

"Un piano « haute couture » teinté d'élégance et d'inventivité." Thierry Hilleriteau, Figaroscope.

"Un jeu tout de chaleur, de poésie, de timbre, une capacité à aller au coeur du son." Alain Cochard, Diapason.

"Le pianiste s'emploie à clarifier la texture, à chanter les voix intermédiaires et à articuler nettement, avec vivacité mais sans précipitation. Il développe un toucher d'une grande finesse et une sonorité de qualité supérieur". S. Fouchard, ConcertoNet.com

Au programme:

MOZART Fantaisie K475
BACH Sonate en la mineur FKNV8 (Poco Allegro - Largo - Presto)
Toccata en mi mineur BWV914
SCHUBERT Impromptu Op90 n.3
SCHUBERT Klavierstücke D946
 
 

Infos Mairie de Secteur


INVITATION


Remise de récompense à Mickaël GARNIER de l'ASPTT/Marseille pour ses belles performances aux Championnats du Monde de JU-JITSU
 (3e en individuel et 3ème en équipe)
 
le MERCREDI 18 FEVRIER 2015 à 18 H.
en Mairie des 2e et 3e Arrondissements - 2 Place de la Major - Marseille 2e
 
 

vendredi 6 février 2015



    Mme NARDUCCI a le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition " à la manière de..."
MARDI 10 FÉVRIER 2015, A 18H00( exposition du 05 au 25 Février 2015 inclus ) Mairie des 2ème et 3ème arrondissements, 2 place de la major, 13002 MARSEILLE

Venez découvrir une exposition photo collective originale, où des photographes présentent leurs séries à la manière de grands artistes.