mardi 15 mars 2011

"Campements des Roms l'urgence d'une solution"



(Extrait du Journal La Provence de ce jour)

"les habitants n'habitent plus le Boulevard de Plombières mais la Rue des Roms.

C'est ainsi que les riverains ont rebaptisé ce quartier qui longe la Passerelle, tant les squats se multiplient. Chaque jour de nouvelles familles s'y installent dans des baraques de fortune bricolées sur les terrains vagues et dans les hangars désaffectés.

A la Belle de Mai, dans des conditions d'hygiène épouvantables, tout un quartier s'intoxique dans les fumées du Camp qui grossit sous les fenêtres des maisons de village. A St. Mauront, à la rue d'Anthoine, à la rue Clary, à la Rue Félix Pyat on ne compte plus les logements squattés. Cette misère, d'un autre âge a fait éruption jusqu'à la Rue Pontevès en plein coeur d'Euroméditerranée ; près de 400 personnes occupent un immeuble de bureaux désaffecté" Face à la concentration des squats sur ses Arrondissements (2e et 3e),

Lisette Narducci, interpelle le Maire de Marseille. Elle réclame un "partage de la misère" entre les différents secteurs de la Ville" ............... (Sophie Manelli - journaliste) ....... "La plupart des squats (pour environ 2000 Roms à Marseille) sont situés dans un triangle (2e, 3e et 15e arrondissements) Parmi les + imposants celui de la Belle de Mai, l'entrepôt de Plombières qui accueille une centaine de roms, le bidonville de St.Mauront : une enfilade de cabanons juste à côté du Stade Félix Pyat. Certains Roms acceptent le retour au Pays avec les 300 euros qu'on leur propose. Mais dans le même temps d'autres arrivent : pas forcemment de Roumanie mais de pays voisins de la France...... " (J.J. Fiorito - journaliste)

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ce sont des personnes comme nous ils faudrait les canalisaient de façon a ceux qu'ils s'intègrent plus facilement ils ont le droit de vivre comme nous laissons leurs le temps de s'adapter a notre vie quotidienne, sauf pour ceux qui exploitent le système intentionnelement.

Francois a dit…

voici le texte original :
"Cette misère d'un autre âge a fait irruption jusqu'à la rue Pontevès"
je suppose que tu as "recopié" l'article, tu aurais dû faire un copier-coller, ça t'aurait évité une faute de français, on ne dit pas "éruption" mais "irruption". je suis étonné que ta grande culture du français ne t'ait pas évité cette faute... sur les photos on ne voit que des tas d'ordures mais il y en a partout dans marseille, où sont les roms ? allez, bon courage !